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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 22:15

Je pars à la découverte de Chilcapamba, à environ 40 minutes de route d' Otavalo.
  
Le marché d'Otavalo 

Il s'agit d'une communauté Quichua qui a développé un tourisme communautaire en son sein.
Ils vivent près du lac Cuicocha, et le tout dominé par les volcans Imbabura et Cotacachi. 

J'ai appris l'existence de cette communauté par l'intermédiaire de français rencontrés à Tena, volontaires dans cette même communauté de Chilcapamba.

Après avoir recroisé Pauline (une des françaises) lors de mon excursion au Quilotoa, puis de nouveau au détour d'une rue d' Otavalo, je me suis donc mis en route pour la communauté, histoire de voir ce qui s'y passait.

Je suis accueilli par des enfants, qui m' emmènent voir Segundo Morales, le "patriarche", en plein travail dans les champs.
 

Après un bon repas, j'ai droit à un match de foot avec les enfants de la communauté, et malgré le déséquilibre (2 français contre 5 équatoriens!), la France s'impose après quelques séquences fou rire!

L'accueil est très chaleureux, et le soir, à grand renfort de cartes du monde et d' Europe, nous montrons aux équatoriens où se situent la France et nos villes respectives par rapport à leur pays.
 
C
hilcapamba de nuit

(http://www.chilcapamba.org/index.html)

Je dois repartir le lendemain, avec toujours le nord pour objectif. 

Le premier bus me mène d'Otavalo à Ibarra.

Le suivant va me conduire à Tulcan, ville frontière avec la Colombie.

J'ai ensuite la bonne idée de prendre un taxi collectif pour atteindre la frontière.

Chemin faisant, je fais connaissance avec des locaux, et me retrouve invité chez eux, de l'autre côté de la frontière, à Ipiales.

Ils acceptent de prendre leur mal en patience, tandis que je m'occupe des formalités de sortie du territoire équatorien, puis rebelotte, côté colombien, pour entrer...

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 00:33
J'ai donc finalement quitté le Cotopaxi, et même en un seul morceau.
Pour atterrir à Otavalo, après un bref passage par Quito.
Quelques heures de route plus au nord, agrémentées d'un sandwich au poisson, et après avoir subi un vendeur de pattes de fruits qui nous a vanté les "bienfaits pour la santé" de ses produits (ils sont fous ces équatoriens!), je pose le pied en hémisphère nord, quelques mois après mon dernier passage dans la zone.
Tout ça pour dire que je suis bien arrivé à Otavalo, et que je ne suis pas mécontent d'avancer un peu.
Hasard incroyable, j'arrive dans la région en pleine période d'Inti Raymi (festival du soleil, que les incas fêtaient, durant lequel le Dieu Soleil Wiracocha était célébré. L'Inti Raymi symbolise l'union entre le Soleil et ses enfants, les humains).

  

Le soir, je vais donc faire un tour à la cascade de Peguche, accompagné d'autres gringos rencontrés dans un bar.
 
C'est l'occasion de boire de l'alcool local, manger des beignets et des empanadas, tandis que les locaux, eux, dansent et jouent de la musique, sous leurs masques colorés. Et pour finir, un petit bain de minuit!

   
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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 21:44
Après la bonne expérience du Quilotoa, c'est maintenant le Cotopaxi qui m'attend.
À défaut de grimper jusqu'au sommet, le troisième volcan encore en activité le plus du monde (5897 mètres) vaut tout de même le détour.
Je m'offre donc deux jours au coeur du parc national du Cotopaxi (quelques 33400 hectares), histoire d'aller voir de plus près la "bête".
Je débarque de Latacunga, où j'ai laissé le gros de mes affaires dans un hôtel, et après avoir embarqué dans le 4x4 flambant neuf d'un couple d'équatoriens, et m'être délesté de 10$ pour l'entrée du parc (2$ pour les locaux...), je trouve un refuge à environ 3500 mètres d'altitude, histoire d'avoir un toit pour la nuit.
Avec Juan Pablo, nous décidons de louer des vélos, afin d'avoir un moyen de locomotion pour la journée, ainsi que pour le lendemain.
Et sitôt dit sitôt fait, nous enfourchons nos bicyclettes, pour rejoindre la lagune de Limpiopungo, avec l'espoir d'apercevoir le Cotopaxi.
30 minutes d'efforts plus tard, et un verre de rhum plus loin (offert par des équatoriennes en rade sur le bord de la route à qui nous avions proposé notre aide), nous atteignons la lagune, pour un déjeuner bien mérité au bord de l'eau.
Nous rebroussons chemin, la pluie et le vent s'étant invités au programme, et sans avoir vu le volcan, faute de beau temps.

Le soir, ne disposant pas d'électricité dans le refuge, notre imagination devient débordante, et à défaut de voir le Cotopaxi, nous décidons de le dessiner...
 
S'il te plaît, dessine-moi un Cotopaxi...

Dimanche matin, décidés à aller jusqu'au parking du Cotopaxi (4300 mètres d'altitude) en vélo, nous nous levons à 5h30 du matin, et partons vaillamment à l'assaut du mythe équatorien.
Disons que c'est la version optimiste. La version officielle se transformant plutôt en:
Dimanche matin, décidés à aller jusqu'au parking du Cotopaxi (toujours à 4300 mètres d'altitude) en vélo, nous nous réveillons à 5h30 du matin, et le temps étant tellement couvert, nous nous rendormons vaillamment jusqu'à 9h du matin.
3h30 de sommeil après, nous partons à l'abordage d'un copieux petit déjeuner.
Pour conclure la journée par l'ascension jusqu'au parking du Cotopaxi, en 4x4, avec un italien, évêque de Guayaquil, un autre italien et un équatorien.
Comme nous ne sommes pas tout à fait fainéants, nous atteignons le second refuge (4800 mètres) à pied (il n'y a pas d'accès pour les véhicules après 4300 mètres).
 
Et remotivés par le chocolat chaud, rehaussé avec l'eau de vie apportée par l'évêque (c'est du joli!), nous estimons que ce serait un sacrilège de ne pas passer la barre des 5000 mètres alors que nous en sommes si près.
Je pars donc batailler avec le froid, et l'oxygène qui se fait un peu plus rare, pour atteindre les 5000 mètres.
 
 
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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 21:16

"La Légende du Lac sans Profondeur"

Depuis le village de Zumbahua, je pars au Quilotoa, toujours accompagné de Juan Pablo et Pauline. 

Sitôt le petit déjeuner fini, et négocié aliment par aliment par Juan Pablo (2 $ par personne pour un oeuf, un peu de pain et un café, ça faisait vraiment trop tarif "spécial gringo"), nous embarquons à bord d'un 4x4, qui doit nous conduire jusqu'à l'entrée du Quilotoa.
 

Et une fois n'est pas coutume, nous commençons par la descente, pour atteindre le lac en contrebas. Cette lagune est vraiment majestueuse, avec ses couleurs incroyables. La descente se fait tranquillement, entrecoupée de pauses photos. 
      

Arrivés au bord de l'eau, nous négocions un bateau, pour aller jusqu'au milieu du lac. Et moins de vingt minutes plus tard, nous nous retrouvons embarqués à bord d'un canot pneumatique, avec en tout et pour tout, 3 rames d'une taille à peine suffisante pour un kayak...

Quelques efforts plus tard, nous touchons au but, sur cette eau couleur émeraude.
 

Nous demandons alors au jeune équatorien qui nous a loué la barque quelle est la profondeur du lac.

Et celui-ci de nous répondre tout d'abord que le Quilotoa est "au niveau du Pacifique et directement relié à celui-ci" (la lagune est à quelques 3500 mètres d'altitude...) avant de changer sa version, un nombre incalculable de fois, pour conclure fièrement que personne ne sait vraiment quelle est la profondeur du lac...

Ces palabres finies, nous commençons à ramer pour rejoindre la plage, mais c'est compter sans le courant contraire, qui nous laisse sur place.

L' unique solution est finalement de rejoindre une autre partie de la rive.

De retour sur terre, il faut maintenant rebrousser chemin, pour rejoindre le sommet du volcan!

Et l'ascension estimée à une bonne heure par les équatoriens se transforme en une marche rapide de 25 minutes...
 

 

 

 

 

 

 

 

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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 19:06

Vendredi 19 juin, "expédition" au Quilotoa.

Et dans le bus de Latacunga nous menant à Zumbahua, surprise, on retrouve Pauline, la française rencontrée à Tena, qui part elle aussi au Quilotoa.

Zumbahua, c'est un petit village, situé non loin du Quilotoa, et principal accès à cette fameuse lagune.

Histoire de me mettre en jambes pour le Quilotoa, je pars avec Pauline, à la conquête d'une montagne aux environs du village.
De la haut, la vue est imprenable sur les environs, d' où on peut y observer les cultures sur les collines, sans terrasses (ils sont fous ces équatoriens!), ou encore les crevasses apparues après un tremblement de terre. 
 

Avant de redescendre et de croiser deux lamas, tout à fait disposés à prendre la pause, le temps d'une séance photos.
Finalement, nous rentrons au village, et après les lamas, nous croisons la "famille nuage", à la queue leu leu.
  





 

 

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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 18:33

Avec Juan Pablo, notre route nous mène finalement jusqu'à Quito.

Nous arrivons le dimanche des élections, dans la soirée. 

Et dans Quito, tout est fermé, et les rues sont désertes. Ne manquent plus que les ballots de paille traversant les rues, poussées par le vent...
Il nous faudra marcher des kilomètres et des kilomètres avant de dénicher, enfin, un restaurant ouvert, dans le Quito Nuevo.Pas question d'être trop regardant sur le rapport qualité-prix, le choix des lieux est trop restreint.

Le lendemain, nous partons à la découverte du Vieux Quito, pas si pollué et englué dans le trafic, en comparaison avec Lima.
Et je découvre même une ville plutôt agréable, avec un côté esthétique insoupçonné.
   

 

Mardi 16 juin, je rencontre un couple de français, arrivé la veille, et qui s'apprête à traverser l'Amérique du Sud.

Nous partons à quatre sur les hauteurs de Quito, en empruntant le téléphérique, avec encore une fois un prix largement réhaussé pour les étrangers. Et après négociations, nous obtenons deux places au prix "étranger", et deux autres au prix "national".

Et il nous faudra bien de la chance pour apercevoir la ville, totalement prise sous une chape de nuages.
  
On me voit... On ne me voit plus...

Un rien de patience plus tard, et le vent vient nous sauver la mise, dégageant tout une partie de la ville, au risque de nous laisser transformés en glaçons, la température descendant à quelques 6°C, avec ce souffle glacial.

Un repas plus tard, et nous rebroussons chemin avec Juan Pablo, vers le sud, pour nous retrouver à Latacunga, une ville sans réel intérêt, si ce n'est qu'elle est située entre la lagune du Quilotoa et le Cotopaxi, un peu plus au nord.

 

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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 18:04

Reprise de la route,à l'arrière d'un 4x4, avec un petit passage par Misahuaill, ou je suis allé faire un tour dans une communauté, et où j'en ai profité pour loger, le temps d'une nuit, avec "presque pas de tarentules" selon l'hôte.
Les habitations en bois sont en effet situées dans la forêt.
  

Juste le temps de croiser deux françaises et un français, volontaires dans une communauté non loin d' Otavalo, et je repars, pour Tena, cette fois-ci.

À noter que les temps sont durs en Equateur.

Nous sommes en période d'élections, et durant ces élections, la "Ley Seca" interdit la vente d'alcool dans le pays, quelques jours avant le jour du vote, et un jour après.

Même pour les étrangers... Autant dire que lorsque j'ai demandé une bière dans un restaurant à Tena, on se serait presque imaginé durant la prohibition aux USA.

Le serveur finit par accepter, et arrive quelques minutes plus tard, avec la bière, dans une carafe, limite cachée, quasi prêt à bondir en cas d'apparition de la police...

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14 juin 2009 7 14 /06 /juin /2009 02:18

Ce qui est frappant quand on arrive à Puyo, dans la forêt amazonienne, c'est le climat qui n'a pas grand chose à voir avec les villes précédentes.
Il y fait plus chaud, et surtout, beaucoup plus humide.
Bref, bienvenue en Amazonie.

La ville de Puyo paraît un peu vieillote, surtout quand on arrive de Cuenca.

Le climat y est peut-être pour quelque chose, toujours est-il qu'ici, on doit parfois prendre son mal en patience. Les gens sont plus que "tranquilles", et il n'est pas rare de devoir attendre vingt minutes pour obtenir un café...

Le lendemain, je pars à la découverte des singes au "Paseo de los monos", à quelques kilomètres de la ville.

On arrive dans une propriété, perdue dans la forêt, et autour de la maison, des singes, une tonne de singes!

Ce n'est pas une maison bleue adossée a la colline, mais une maison grise, installée en Amazonie.

Pas effrayés pour un sou, les singes n'hésitent pas a nous sauter dessus, nous attraper par les mains, et si l'occasion se présente, farfouiller dans nos poches, et essayer d'ouvrir nos sacs.
 
C'est vraiment une expérience unique, qui change totalement du côté "zoo" auquel nous sommes plus habitués.
  
Le côté intéressant du lieu, c'est bien évidemment que l'on est en totale interaction avec les singes, qui sont en liberté.

Le site, tenu par un suisse, recueille les singes récupérés durant des contrôles de police (le trafic d'animaux est le troisième plus rentable en Equateur après la drogue et les armes), voire des "dons" de personnes ne sachant plus que faire de leurs singes.

Ils se chamaillent, jouent, font des pirouettes dans tous les sens, sont très calins aussi, bref, de vrais mômes!
 
On pourrait passer des heures dans ce lieu, et finalement, notre départ du "Paseo de los Monos" sera juste retardé par la sortie d'un intrus, animal au premier abord inoffensif (j'ai zappé le nom de la bestiole en question), mais qui en fait est un redoutable prédateur (le mâle adulte n'hésite pas à attaquer et tente généralement de mordre directement les veines, avec ses longues dents, souvent infectées par des bactéries paraît-il).
  

Tout le monde rentre donc en catastrophe dans la maison, les singes aussi -qui en profitent pour mettre le bazard...- en attendant un spécialiste animalier, pour renfermer la bestiole dans son enclos (à l'aide d'un morceau de viande), ouvert par... un singe.

L'expérience est vraiment unique, et mis à part nos vêtements qui sont ressortis plus sales que si l'on venait de faire la guerre (les singes ne prennent pas de gants quand il s'agit d'aller au contact !), croyez moi, vivre ce genre de moment est autrement plus enrichissant que lorsque des grilles nous séparent. 
 
L'homme descend du singe, le singe descend du chien... 

 



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9 juin 2009 2 09 /06 /juin /2009 03:06

Une semaine plus  tard, il faut plier bagages, direction le nord.
Mais cette semaine de Cuenca restera mémorable, pour les sorties, l'ambiance, et pour la ville bien sûr.
 

La suite du périple équatorien s'annonce un peu plus "speed" à présent, avec toujours pour objectif, le nord!
Suite à Cuenca, je fais un petit passage par Ingapirca, le temps d'y découvrir ses ruines, et ses lamas...
 

Dans la journée, je poursuis ma route, jusqu'à Riobamba, petite ville sans grande activité, mais sur la route de l'Amazonie.
 
 

 

Avec Juan Pablo, nous allons tester le marché de la ville.

Et nous en ressortons avec une certitude, la cuisine écuatorienne (et péruvienne) manque définitivement de créativité et de diversité.
Bien que les gens soient très fiers de leur plats nationaux, il faut bien avouer qu'après le riz accompagné de viande, de poulet, ou de poisson, ils semblent un peu en manque d'imagination.

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9 juin 2009 2 09 /06 /juin /2009 02:30

 

 

Avec Juan Pablo, nous interceptons le car de justesse au terminal de la ville, et après 5 heures de route, nous débarquons à Cuenca, troisième ville du pays, dans la sierra, à 2500 mètres d'altitude.

Après avoir bien tourné dans le centre ville pour trouver un hôtel, nous élisons domicile à l'hôtel Monarca. Et comme celui-ci est totalement vide de clients, nous obtenons sans trop de difficultés des chambres spacieuses et confortables pour un bon prix. Cuenca va-t-elle nous réserver le même manque d'activité que Loja?

Toujours est-il que nous allons dîner dans un restaurant italien de la ville, dans le genre "local", on fait mieux, mais peu importe, les plats sont très satisfaisants.

L'estomac bien rempli, nous débusquons un café qui répond au nom de "Café de la Eli".

Quelques verres plus tard, nous commençons à jouer aux cartes avec Eli, la patronne, Daniela, qui travaille au café, et Oscarito, un habitué.

Une fois celui-ci parti, à 4 joueurs, un éclair de génie me traverse l'esprit, et j'enseigne au catalan et aux deux équatoriennes un jeu "bien de chez nous", le TDC... Jeu qui fait rapidement l'unanimité, si bien que nous enchaînons les parties jusqu'à 3 heures du matin, avec comme "punition" pour celui qui perd, de boire un shooter de Tequila (les 3 autres subissant le même sort, quel dommage!).

Nous prenons finalement congé, pour un peu de repos bien mérité.

Le lendemain, toujours accompagné de Juan Pablo, nous faisons un tour dans la ville, malgré la journée déjà bien entamée, après une grosse nuit de sommeil.

Nous retrouvons Ivan, un ami catalan de Juan Pablo, qui voyage depuis près d'un an. À son rythme, il a traversé durant ce temps le Venezuela, la Colombie, durant 6 mois, et maintenant l'Equateur.

Nous retournons au Café de la Eli, et après quelques verres, nous partons avec les filles du café à la Mesa, un "club" de salsa.

Je n'arrive pas totalement désarmé, Juan Pablo m'ayant appris les bases de la salsa durant l'après midi.

Après quelques heures à la Mesa, nous partons dans un "local" avec d'autres équatoriens, pour une longue nuit de musique et de discussions politiques, qui prennent parfois un air d'Amérique du sud vs Europe. À écouter certains équatoriens, l'Europe sans les richesses "volées" à l'Amérique du Sud ne serait pas ce qu'elle est... Ambiance!

Tout en restant bonne enfant, la soirée se poursuit jusqu'au petit matin.

Suffisament tôt en tout cas pour aller prendre un petit déjeuner au marché de la ville, avec au menu un "encebollados", soupe de poisson avec du riz, de l'ail et plein d'autres bonnes choses.

Au final, la soirée s'achève sur le coup des 8 heures du matin.

Une chose est sûre, Cuenca est une ville qui bouge, quel que soit le jour de la semaine.

 

 

 

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