12 mai 2010
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07:00
L'arrivée à Concepcion est rude. Non seulement il y fait froid, mais aussi, et surtout, l'atmosphère qui règne dans la ville au petit matin est peu commune. Dans les rues, il n'y a pas un chat, mais des militaires à chaque de rue. Après les scènes de pillage qui ont suivi le tremblement de terre, la sécurité a été renforcée, avec couvre-feu et présence militaire.
Je retrouve Marine et Imane, deux françaises en échange universitaire, avec qui j'ai fait connaissance à Asuncion -Paraguay-, quelques mois auparavant.