14 janvier 2010
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19:51
Suite aux deux jours passés à Caaguazu, je reprend la route, en direction de Villarrica.
Doucement, mais sûrement, j'avance en plein Paraguay, et j'arrive le soir à destination.
À l'entrée de la ville, je passe devant un site militaire.
Les occupants, visiblement intrigués, m'interpellent.
Je m'arrête, entame la discussion.
On m'offre de l'eau, ainsi que le Terere.
L'accueil est si bon que je tente ma chance, en demandant s'il y a un camping en ville.
Le sous officier Almiron me demande alors d'attendre un instant.
Et il s'empare de son téléphone portable pour appeler.
Il revient quelques minutes après, en me demandant si "cela me dérange de dormir dans un lit, étant donné que j'ai une tente".
J'imagine la question piège me renvoyant dans un hôtel.
Mais répond que je ne vois pas d'inconvénient à "dormir dans un lit", expliquant que la tente n'est pas forcément une obligation.
Et sur ce débarque un haut gradé de la base, me demandant mon passeport, avant de m'expliquer que je suis le bienvenu ici, et que je peux utiliser un dortoir laissé libre si je le souhaite.
Pourquoi refuser une opportunité?
La réponse ne se fait donc pas attendre, et me voilà dans la base, avec mon vélo, à installer mes affaires dans ledit dortoir.
Au final, lever de drapeau, hymne paraguayen, visite du centre de communications.
Et des Terere à tire larigot.
Doucement, mais sûrement, j'avance en plein Paraguay, et j'arrive le soir à destination.
À l'entrée de la ville, je passe devant un site militaire.
Les occupants, visiblement intrigués, m'interpellent.
Je m'arrête, entame la discussion.
On m'offre de l'eau, ainsi que le Terere.
L'accueil est si bon que je tente ma chance, en demandant s'il y a un camping en ville.
Le sous officier Almiron me demande alors d'attendre un instant.
Et il s'empare de son téléphone portable pour appeler.
Il revient quelques minutes après, en me demandant si "cela me dérange de dormir dans un lit, étant donné que j'ai une tente".
J'imagine la question piège me renvoyant dans un hôtel.
Mais répond que je ne vois pas d'inconvénient à "dormir dans un lit", expliquant que la tente n'est pas forcément une obligation.
Et sur ce débarque un haut gradé de la base, me demandant mon passeport, avant de m'expliquer que je suis le bienvenu ici, et que je peux utiliser un dortoir laissé libre si je le souhaite.
Pourquoi refuser une opportunité?
La réponse ne se fait donc pas attendre, et me voilà dans la base, avec mon vélo, à installer mes affaires dans ledit dortoir.
Au final, lever de drapeau, hymne paraguayen, visite du centre de communications.
Et des Terere à tire larigot.